Fida Khalifé, le 20 avril 2024 La voix m’a appelée en pleine nuit. Il était trois heures du matin. La musique avait déjà tiré sa révérence depuis la rue d’en bas qui flambait les samedis soir. La maison était plongée dans un silence solennel. Je ne voulais pas quitter la chaleur de mon lit. Mais…
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Parfois il y a trop à vivre pour écrire…
Dans Ici Beyrouth par Fida Khalifé, le 28 février 2024 à 18:43 Parfois il y a trop à vivre pour écrire… L’année entamée, les deux premiers mois se sont vite écoulés. Entre le soleil tiède de l’hiver et ses intempéries, j’ai été projetée dans un long tunnel obscur. Je peinais à en voir le bout. J’avais…